Dans un rapport préliminaire publié vendredi sur la croissance de l’économie hongroise, l’Office central des statistiques (KSH) a indiqué que la croissance du produit intérieur brut a été de 0,8% au cours du trimestre juillet-septembre par rapport au précédent. Sur un an, la progression du PIB a été de 1,6% selon les données non-ajustées, et de 2,1% selon les données de calendrier ajustées.
Ces chiffres sont un peu au-dessus des prévisions des économistes et confirment la sortie de récession entamée au 1er trimestre 2010, après plus d’une année complète de baisse.
Les chiffres définitifs ne seront connus que le 9 décembre et pourraient différer légèrement de ces premières estimations, prévient KSH.
Le gouvernement table sur une croissance de 0,8% cette année, et attend une forte reprise avec une croissance de 3% en 2011 et de 3,5% pour 2012, selon l’annonce d’un secrétaire d’Etat au ministère hongrois de l’Economie, Andras Karman, à la fin du mois d’octobre.
Essai
Et le hongrois ? Ils n’ont pas des stations thermales pour les touristes naturistes ?
Je cite: »
Les Romains ont les thermes, les scandinaves ont les saunas, les orientaux ont les hammams et les Japonais ont les onsen. Les onsen (mot qui signifie « source chaude ») se présentent comme de grands bassins collectifs installés dans des pavillons (abrités, semi-abrités, ou encore en plein air) contigus aux hôtels ou aux ryokan (les auberges). Quand on est client d’une auberge, on y est admis dès lors que l’on a pris une chambre.
Attention, ce ne sont pas du tout des piscines sportives. Dans un onsen, on ne nage pas, mais on se délasse immergé nu dans une eau naturelle sulfureuse, provenant du sous-sol de la terre, et des volcans. Cette eau jaillit, et se jette dans de grands bassins en glougloutant, en fumant, enveloppant les baigneurs dans des nuages de vapeur chaude. Nul besoin de suivre une cure thermale pour s’y adonner. Il suffit de s’y plonger pour le simple plaisir du bain. C’est une des formes les plus raffinées et originales du savoir-vivre japonais, résultat de l’amour des nippons pour l’eau et les bains. Certains Japonais pensent que l’eau des onsen sécrète la force des dieux. C’est pourquoi ils entretiennent une relation presque religieuse avec les quelques 3000 onsen recensés dans le pays. « En se lavant une fois avec de l’eau de cette source chaude, notre corps devient beau. En le répétant plusieurs fois, nous nous guérissons de n’importe quelle maladie », remarquait un expert ancien dans l’Izumonokuni-fudoki, ouvrage écrit en 733 de notre ère.
Se baigner dans un onsen japonais est souvent recommandé par les médecins en raison des vertus thérapeutiques des eaux volcaniques. Plus proches de la nature, les rotenburo sont les onsen les plus agréables car ils se trouvent en plein air dans ou au bord des rivières, le long des cours d’eau, parmi les rochers, les plantes et les arbres. Le meilleur moment reste la nuit, sous les étoiles. Se baigner au printemps est un régal : dehors il fait frais, et le baigneur se prélasse dans une eau dont la température oscille entre 30 et 45 °C ! On vous le rappelle, on se baigne nu, les hommes et les femmes séparés. Autrefois les onsen étaient mixtes, mais depuis le passage des Américains (ah, ces puritains !) au Japon après la seconde guerre mondiale, la mixité a été interdite sauf dans quelques onsen secrets. Qui n’a pas connu le plaisir de l’onsen ne connaît pas le Japon !
Mes remerciements à Michel Moureaux dit Mikimuro pour son aide précieuse lors de ce voyage. »
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Nudiworld, la Hongrie c`est pas exactement le Japon. S`il y avait des onsen en Hongrie, tu peux etre sur qu`ils deviendraient vite des baisodromes pour homos.