La vengeance est un plat qui se mange froid. Fidèles à ce proverbe, les lieutenants de Viktor Orbán montent de plus en plus souvent au créneau pour régler leurs comptes avec l’ancien premier ministre socialiste hongrois, Ferenc Gyurcsány. Ce dernier l’a affirmé lundi, il va se défendre contre ces accusations "empoisonnées", en abandonnant son immunité parlementaire s’il le faut.
Le Fidesz accuse Gyurcsány d’avoir délibérément menti sur l’état réel des finances de l’Etat afin de réassurer sa réélection en 2006. Il . . .
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