Alors que le Fidesz de Viktor Orbán connaît depuis quatre ans une nette dérive vers l'extrême-droite, le Jobbik clame à qui veut l’entendre qu’il n’est plus un parti extrémiste et qu'il est prêt à s'allier avec les centristes. Loin des déclarations antisémites et de la garde hongroise qui l'ont fait connaître dans toute l'Europe, le Jobbik nouveau se fait l'avocat des institutions démocratiques et "n’accepte pas que le Fidesz maintienne la population dans un climat de peine et de haine". Entretien . . .
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