C’est l’une des opérations les plus macabres de la révolution roumaine de 1989. Son nom de code : « Trandafirul », « la rose ». L’objectif était de faire disparaître les cadavres des victimes de la répression du 17 décembre à Timișoara. Cette manipulation fut le déclencheur de la fameuse affaire des « charniers de Timișoara ». Retour sur les lieux du crime.
Il y a encore dix ans, il n’y avait rien sur ce terrain, juste un trou bétonné au fond duquel on pouvait entendre couler un peu d’eau. Nous sommes au bord . . .
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