Après presque un an dans l'ombre de la Fidesz de Viktor Orbán, l'opposition de gauche libérale hongroise ne se remet pas de sa défaite par K.O aux élections l'an dernier. Depuis quelques mois, elle a timidement tiré la sonnette d'alarme sur les réformes constitutionnelles importantes que la "supermajorité" au Parlement allait offrir à Orbán. Depuis le début de la présidence hongroise, elle en profite pour "débattre" sur le terrain européen, mais pas toujours de façon très glorieuse. Quant à l'ancien premier ministre démissionnaire . . .
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