Promis par le Premier ministre Robert Fico dans son discours du 1er mai, le nouveau "paquet social" du gouvernement slovaque s'attire les foudres des principales organisations patronales.
Augmentation du salaire minimum, lutte contre le dumping social, congé de paternité : les mesures promises par le Premier ministre Robert Fico le 1er mai dernier ne sont pas au goût du patronat slovaque. La Fédération nationale des employeurs (AZZZ) et l'Union républicaine des employeurs (RÚZ) ont pris position ce jeudi contre le nouveau "paquet social" du gouvernement mené par les sociaux-démocrates (Smer-SD).
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