En Pologne, une contre-révolution qui ne dit pas son nom (3/5)

Le projet de IVe République, qui avait été relativement absent des campagnes électorales, revient sans dire son nom. L’un des premiers textes adoptés par la nouvelle législature concerne le Tribunal constitutionnel : il annule la nomination de cinq juges élus le mois précédent par la majorité PO et met fin aux mandats du président et du vice-président du Tribunal. C’est le début d’une crise qui demeure à ce jour non résolue.
En un an, le PiS a voté pas moins de quatre lois sur le Tribunal constitutionnel – un cinqui . . .

Lisez la suite gratuitement.

Inscrivez-vous et suivi l'actualité d'Europe centrale avec un média indépendant.

Eugène Chapelier

Journaliste

Membre de la rédaction du Courrier de Pologne.