En tournée en Hongrie, en Slovaquie et en Pologne cette semaine, le chef de la diplomatie des États-Unis, Mike Pompeo, tente de contrecarrer les vues de Pékin et Moscou sur la région. La Hongrie, elle, est carrément pressée de mettre un terme à ses « errements » diplomatiques.
La dernière fois qu’un secrétaire d’État américain s’était rendu à Budapest remonte à 2011, lorsque Hillary Clinton avait rencontré Vikor Orbán qui remplissait son premier mandat à la tête du gouvernement hongrois . . .
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