« Je suis particulièrement inquiet pour notre liberté académique », nous confie un professeur d’université hongrois

Il y a quelques jours, les universités de Pécs, Debrecen, Szeged, Dunaújváros ainsi que l’université de médecine Semmelweis de Budapest acceptaient de passer sous la tutelle de fondations privées. Nous avons rencontré un professeur qui nous explique ses inquiétudes.

Nous l’appellerons Ádám, afin de garantir son anonymat et de le protéger des éventuelles mesures de rétorsion dont il affirme craindre d'être l'objet dans le cadre de la poursuite de sa carrière. Ádám est directeur d’un département universitaire dans l’une des . . .

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Matthieu Boisdron

Rédacteur-en-chef adjoint du Courrier d'Europe centrale

Docteur en histoire (Sorbonne Université)