Fidesz cherche ennemis. Désespérément.

La manifestation « contre la haine » organisée par le Fidesz jeudi soir dernier à Budapest a tourné à la démonstration de...haine. Oups. Outre la blague, le pouvoir a un besoin urgent d’ennemis pour maintenir la pression sur l'opinion publique.
Jeudi soir, plusieurs milliers de partisans de Viktor Orbán se sont mobilisés pour dire « non au racisme et à la discrimination ». De quoi lever un sourcil puisque, comme le rappelle le site Index.hu, Orbán veut préserver « l’homogénéité ethnique du pays », estime que les migrants veulent « détruire l’Europe . . .

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Corentin Léotard

Rédacteur en chef du Courrier d'Europe centrale

Journaliste, correspondant basé à Budapest pour plusieurs journaux francophones (La Libre Belgique, Ouest France, Mediapart).