Les relations entre la République tchèque et la Chine ne sont plus ce qu’elles étaient dans un passé encore relativement récent. Très irritante pour Pékin, la visite controversée mais hautement symbolique à Taïwan cette semaine d’une délégation officielle tchèque confirme ce net refroidissement.
« Je suis un Taïwanais. » En apprenant, mardi matin, ce que Miloš Vystrčil venait de lancer, un peu plus tôt, en tchèque puis en chinois, devant le Parlement de Taïwan, on imagine que beaucoup de Tchèques, partagés entre la surprise . . .
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