Pour Anaïs Voy-Gillis, considérer les droites radicales et les partis populistes "comme un ensemble uni sous la bannière de l’extrême-droite" contribue à donner de la force à des mouvements qui "peinent à s’allier en raison de divergences stratégiques et idéologiques". Selon la doctorante en géopolitique, leurs succès électoraux s'expliquent notamment par la difficulté des partis démocratiques à sortir d'un "contexte particulier de crises".
L'hégémonie électorale du Fidesz en Hongrie, du PiS en Pologne et les succès du FPÖ en . . .
Lisez la suite gratuitement.
Inscrivez-vous et suivi l'actualité d'Europe centrale avec un média indépendant.