À six semaines des élections législatives, le SMER au pouvoir depuis 2012, est bien mal en point. Son patron Robert Fico tente le tout pour le tout avec une campagne de salissage. L'opposition reste divisée et peu inspirante, ce qui semble profiter surtout à l'extrême-droite.
Empêtrés dans les scandales depuis près de deux ans, le parti social-démocrate SMER a connu des jours meilleurs. Arrivé au pouvoir en 2012 avec 44 % des voix, puis réélu avec l'appui de 28 % des électeurs en 2016, le voilà crédit . . .
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