Certains vont jusqu’à évoquer un « Watergate polonais ». Depuis fin décembre, la Pologne vit au rythme des révélations portant sur l'usage du logiciel espion Pegasus par le gouvernement, qui en aurait fait usage pour surveiller des figures de l'opposition. Si pour l'heure, l'affaire n'a pas significativement entamé la popularité du parti Droit et Justice (PiS), ce dernier n'est pas à l'abri d'éventuelles déflagrations causées par de futures déclarations . . .
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