Les négociations entre le mouvement populiste ANO d’Andrej Babiš et la gauche ont tourné au vinaigre vendredi dernier. Le président de la République Miloš Zeman a recommandé à son premier ministre - démissionnaire faute de majorité - de négocier avec les extrêmes droite et gauche en vue de la constitution d’une coalition gouvernementale. Véritable perspective pour la République tchèque ou simple manœuvre politicienne . . .
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