Mediaworks Zrt. vient d'être condamnée par la justice, suite à la suspension brutale du Népszabadság en octobre dernier. La cour a qualifié la suspension de licenciement déguisé et a estimé que la méthode employée par le groupe de presse n'avait pas respecté le cadre prévu par la loi.
Troisième round dans l'affaire du Népszabadság, le quotidien de gauche brutalement "suspendu" le 8 octobre dernier, selon les termes de son propriétaire Mediaworks Zrt. Sans prévenir la rédaction, le groupe de presse avait . . .
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