Les belles images de solidarité témoignées par le peuple hongrois envers les victimes de la boue rouge issue de la Magyar Aluminium pourraient laisser la place à une réalité locale beaucoup moins flatteuse…celle de la corruption.
Selon des sources locales, des organisations destinées à gérer l'après-crise liée de l'accident industriel d’Ajka utiliseraient les budgets publics de façon scandaleusement gaspilleuse. Par exemple : chaque collaborateur de la commission juridique toucherait pas moins de 25.000 HUF par heure. Leur tâche éreintante revenant par ailleurs à tenter de . . .
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