Depuis mardi, jour de l’annonce de la démission du gouvernement par le Premier ministre social-démocrate Bohuslav Sobotka, la République tchèque est tenue en haleine par un vaudeville qui n’en finit plus.
Prague (correspondance) - Les couteaux volent bas alors que des enregistrements secrets ont mis le ministre des finances Andrej Babiš dans le pétrin et que le président Miloš Zeman a humilié le Premier ministre en public. Dernier rebondissement en date : Sobotka a préféré retirer sa démission vendredi matin pour demander la révocation d’Andrej Babi . . .
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