Comme la couleuvre doit être difficile à avaler pour Viktor Orbán… Peu après son élection l’an passé, il avait assuré le spectacle en envoyant paître le FMI, avec, rappelons-le, un panache qui en avait fait jubiler plus d’un. Cela paraît bien loin. Depuis, ni la croissance ni les créations d’emplois ne sont au rendez-vous ; les mesures économiques « hétérodoxes » mises en place par le gouvernement ont sérieusement agacé à l’étranger ; les agences de notation se font de plus en plus menaçantes - BBB- de Standard & Poor's et Fitch . . .
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