Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées à l’appel de la gauche hongroise devant le parlement, mardi soir, pour dénoncer le pouvoir sans partage de leur premier ministre Viktor Orbán et les « menaces qui pèsent sur la démocratie », selon les mots tenus par l’ancien premier ministre Gyurcsany.
Laminée à tous les échelons du pouvoir, depuis les municipalités jusqu’au parlement, et toujours honnie par une large majorité de l’opinion publique, la gauche hongroise tente de reprendre . . .
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