Les vagues de l’immigration affluant vers l’Europe ont réveillé les vieux démons aux quatre coins du vieux continent. Le nouveau repli nationaliste nourri par la peur de l’Étranger n’a pas encore trouvé d’écho en littérature qui manque de recul par rapport à l’histoire, toujours en cours. Cependant, il y a quelques exceptions ; parmi les plus réussies, on pourrait citer le roman Avenue Nationale du Tchèque Jaroslav Rudiš.
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Le récit, écrit à la première personne, met en sc . . .
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