« J’ai honte d’en être arrivé là »

Autrefois, cela semblait naturel que plusieurs centaines de personnes vivent à l'année dans des foyers de travailleurs. Mais il y a dix, vingt ans, leurs occupants étaient surtout des manouvriers qui faisaient l'aller-retour entre la ville et la province, le plus souvent en semaine. De nos jours, près de 80% des pensionnaires ont fait de ces logements leur seul et unique domicile. La situation des personnes âgées y est de plus en plus dramatique. Ce qui suit est le fruit d'un reportage réalisé au foyer de travailleurs de Gyáli út, à Budapest.

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