Dans une lettre adressée au président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a pointé du doigt le passé colonial des pays d'Europe de l'Ouest pour justifier son refus des quotas de demandeurs d'asile établis par l'Union européenne.
Jean-Claude Juncker a vivement rejeté la demande du gouvernement hongrois de se faire rembourser la moitié des 800 millions d'euros qu'ont coûté la construction des clôtures destinées à stopper les migrants clandestins aux frontières méridionales du pays. "La solidarité n . . .
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