Cela s’est passé à la fin du mois de mars, un dimanche, quelque part dans l’Est de la Hongrie, aux confins de l’Union européenne. Connu comme un laboratoire de l'extrême-droite hongroise, les habitants du village de Érpatak se sont débarrassés de leur maire Jobbik.
Érpatak, petite commune d’à peine deux mille habitants dans le nord-est de la Hongrie, dans le département de Szabolcs-Szatmár-Bereg. La quintessence de la Hongrie féodale et despotique rêvée par l'extrême-droite. Aux mains depuis treize longues années . . .
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