« Si tu me poses encore une fois cette question, je t’ouvre le crâne en deux ! ». Empoigné par le politicien taillé comme une armoire à glace, le malheureux journaliste qui a eu l’outrecuidance de l’interroger sur l’origine de sa fortune manque de faire les frais de ses années de boxe. C’était dans la décennie quatre-vingt-dix, mais aujourd’hui, à l’âge de soixante-dix-sept ans, Vladimír Mečiar, retiré dans sa luxueuse villa dans une station thermale bucolique entourée de collines verdoyantes, ferait presque papi. Le voilà pourtant sur le . . .
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