Comme souvent en présence de la Magyar Gárda, milice organisée du parti d'extrême-droite Jobbik, la manifestation qui s'opposait mardi à l'élection parlementaire de Gordon Bajnai Premier ministre et qui revendiquait des élections nationales anticipées, a sombré dans la violence et les gaz lacrymogènes.
La police avait, comme d'habitude, fermé tous les accès à Kossuth Lajos tér dès le matin, mais les plus décidés des manifestants se sont tout de même frayé un passage à travers les barrières de sécurité l'après-midi, pour . . .
Lisez la suite gratuitement.
Inscrivez-vous et suivi l'actualité d'Europe centrale avec un média indépendant.