En février prochain, les membres de la nouvelle Commission européenne qui viennent d'être nommés par le président Barroso prendront leur fonction.
Valider chaque candidature présentée par les gouvernements nationaux n'est pas évident, car il s'agit de ne pas se tromper sur les profils des futurs commissaires, afin que l'institution ne soit pas fragilisée. Le plus dur pour les nouveaux impétrants sera le "grand oral" devant le Parlement européen, renforcé dans ses prérogatives depuis la mise en place récente du Traité de Lisbonne. Pour la Hongrie . . .
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