Après plusieurs enquêtes, nous avons pu constater qu'en Hongrie, depuis les années 90, les gouvernants se soucient assez peu du SIDA et la population hétérosexuelle ignore souvent les risques de contamination. En gros, les Hongrois savent que c’est une maladie mortelle et qu’elle est transmise par le sang : pas grand chose en somme. La Journée Mondiale de la lutte contre le SIDA, le 1er décembre, est toutefois l'occasion de prendre à nouveau la température dans un centre de dépistage de Budapest . . .
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