Selon les résultats d’une nouvelle série de vingt tests effectués par l’ONG écologiste Greenpeace et communiqués sur son site internet, les risques sanitaires ont diminué sur le site touché par la boue rouge par rapport aux semaines suivant la catastrophe du 4 octobre. Cependant les taux d’alcalinité et d’arsenic restent encore trop élevés . . .
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