Soirée décroissance mardi à Fogasház

Une soirée sur le thème de la décroissance sera organisée mardi soir 25 octobre à 18h30 à Fogasház, dans le 7ème arrondissement de Budapest.

Parti pour la décroissanceC’est Vincze, qui collabore ponctuellement avec Hu-lala, qui animera cette soirée débat, en anglais.

Nous l’avons d’ailleurs reçu samedi à notre émission bi-hebdomadaire sur Tilos radio pour présenter cette rencontre mais aussi pour débattre des enjeux de la crise, des dettes et pourquoi la Décroissance pourrait être une solution.

Si vous avez manqué la venue du professeur Serge Latouche, grand théoricien en France de la décroissance, à Budapest au mois de mars, ou si vous souhaitez en savoir plus et débattre des solutions proposées par ce mouvement, rendez-vous mardi soir autour de quelques bonnes bières.

Pour plus d’infos :

 Retrouvez les chroniques précédentes de Vincze :

Médias : la France, la Hongrie, l’UE, deux poids deux mesures ?

La fin de l’insouciance des nuits budapestoises ?

La Rédaction

11 Comments

  1. On est en plein dedans… hummm… c’est bon…. tt ce chômage, ces sdf, ces immolations… Que c’est bon la décroissance

  2. La décroissance c’est pire a la campagne, j’ai été chez le médecin l’autre jour et j’avais l’impression d’être a la cour des miracles.

  3. Avec 7 milliards d’habitants sur la planète, composé de pauvres pour la grande majorité, la bonne décroissance, c’est la décroissance démographique.
    Ce ne sont pas les retraités, en France, qui plombent l’économie, ce sont les chômeurs jeunes et âgés. Il n’y a que 28 % des plus de 58 ans qui ont encore un emploi.
    En Hongrie, cela semble pire. il y a 2 millions de hongrois de trop, uniquement des pauvres. Et comme dans les autres pays, c’est la même chose, voire pire, il n’y a pas de solutions extérieures, comme l’émigration massive.
    On a calculé qu’il faudrait 4 planètes pour permettre à toutes ces personnes de vivre comme les autres. Je doute que la technologie soit capable de solutionner cette quadrature du cercle.

  4. Hé Nudiworld,
    ce ne sont pas les humains qui sont surnuméraires, mais les automobilistes (pour simplifier…).
    Sauf ton respect, ton raisonnement pue bien du bec…

  5. Oui… mais aujourd’hui… on ne peut plus se passer de l’automobile…

    Donc, un humain se confond aujourd’hui avec un automobiliste. Merci de confirmer ma façon de voir…

  6. >Donc, un humain se confond aujourd’hui avec un automobiliste.

    Et les ceusses qui n’ont pas de bagnole (grosso merdo les trois quarts de l’humanité), c’est quoi?
    Untermenschen?

    Grandiose ta façon de « penser »…

  9. J’espère, bien sûr, qu’on en saura beaucoup plus sur cette soirée.

    Croissance forcené, décroissance ? Quelle est la bonne réponse ?

    En tout cas, je reçois en ce moment, d’un groupe de discussion sur la construction saine, des centaines d’avis et de commentaires, sur une petite question: connaissez vous un bon fabricant de poële à bois ? Pour l’instant, aucun des professionnels, ni les amateurs éclairés, n’a pu répondre à la question.

    Le développement durable consisterait pourtant à fabriquer des produits fiables et performants. Alors, si les fabricants ne nous proposent que de la m…, vive n’importe quelle décroissance…

  10. « Refaire le monde » au bar ou autour d’un chauffe-terrasse à Fogasház entre expats et qlqs bobos du LMP ca va 5 min, mais ca doit etre saoulant au bout d’un moment… Quand on connait la culture du chauffage à Budapest c’est assez risible : des volumes impressionnants qu’on isole pas, les radiateurs qui tournent a fond et on pleurniche sur sa facture de gaz. J’espere au moins qu’il y avait moyen de faire un ping-pong dans la pièce à côté ! 🙂

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