Selon EKBSZ, la mise en place d’une régulation efficace n’est possible que si le gouvernement collabore avec les acteurs du secteur du divertissement, afin qu’ils puissent s’assurer que les changements n’aient pas d’effets pervers dans ce secteur. Pour l’association, il est important que toutes les parties concernées (gouvernement, municipalité, pompiers, police, services de santé et ONG) s’accordent sur un compromis. Afin d’atteindre ces objectifs, EKBSZ a l’intention d’établir pour elle-même une charte éthique de son fonctionnement, et de donner des conseils aux organisateurs de soirées qui en auront besoin.
Dans son communiqué, l’association a déclaré être d’accord avec la volonté du gouvernement de revoir les normes de sécurité lors d’évènements culturels nocturnes visant à assurer le bien-être des fêtards. Cependant EKBSZ souhaite rappeler que ce secteur n’a pas qu’une importance économique (entre autre), mais aussi culturelle, définissant l’image du pays. Il serait donc dommage de le tuer en voulant trop le brider.
Budapest serre la vis à ses noctambules