En Roumanie, « le risque est grand de voir se constituer une industrie de thèses de basse qualité et plagiées » selon Sergiu Miscoiu

En Roumanie, un projet de réforme suscite l’inquiétude des milieux universitaires. Il prévoit la dissolution du Conseil national de certification des titres et diplômes universitaires (CNATDCU) ainsi que la prescription du délit de plagiat au bout de trois ans, alors même que l’actuel premier ministre et ancien général de l’armée roumaine, Nicolae Ciucă, est sous le coup d’une accusation de plagiat de sa thèse de doctorat en sciences militaires.

Entretien avec Sergiu Miscoiu, Professeur des universités en science politique à l’université Babeș-Bolyai . . .

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Matthieu Boisdron

Rédacteur-en-chef adjoint du Courrier d'Europe centrale

Docteur en histoire (Sorbonne Université)