Un vent libertaire souffle sur le patriarcat. « On peut de nouveau aimer la Pologne »
Je suis de la génération ’68 (certes, ’68 n’était pas le même en Pologne qu’en France), et forcément j’ai eu ce type d’associations : flower power, liberté sexuelle, à bas le pouvoir… Mais ce déjà vu était enrichi par l’impact très fort du nouveau féminisme, par la furie et la haine envers les autorités. Ces jeunes femmes revendiquent le plus élémentaire respect pour leurs décisions individuelles, intimes, et les cinq années d’hypocrisie, d’impertinence et de mépris total montrés par le PiS, si analogues aux agissements du Parti communiste d’avant, semblent être balayées par ce vent libertaire comme le sont les feuilles mortes dans les beaux parcs varsoviens.
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